En ces moments compliqués, nous avons toutes sortes de deuils à faire, grands et petits. J’ai dû faire une croix sur un événement qui me tenait fort à cœur… Insignifiant peut-être au regard de tout ce qui agite l’actualité, mais très important pour moi pour toute une série de raisons.

Après avoir tenté de relativiser, j’ai accepté que j’avais un deuil à faire, et je me suis laissée tranquillement vivre pendant que je traversais les différentes étapes décrites par Kübler-Ross : déni, colère, marchandage, tristesse et acceptation.

Il y a toute une série de modèles par rapport aux phases de deuil, de trois à sept phases, avec des variantes… Peu importe celui que vous choisissez ou qui vous parle le plus, ma proposition est de vous laisser traverser les étapes en question à votre rythme, avec des aller, des retours, des nuances de toutes sortes. Une seule directive salutaire à mon sens : se laisser le temps, et accepter que si c’est important pour moi, c’est légitime de vivre le processus du deuil, peu importe ce qui le provoque. Constater et accueillir, en toute bienveillance.

Se laisser vivre… son deuil.

Et vous ?

  • De quoi avez-vous besoin de faire le deuil ?
  • Quelles étapes vous sont familières ?
  • Comment vivez-vous ces moments particuliers ?

Pour aller plus loin